Jean-Claude Litaudon - Spécialiste des problèmes hydrauliques dans le monde romain
Depuis juillet 1999, soit moins de 20 ans, un certain nombre de découvertes se sont fait jour sur l’aqueduc romain ; ce fut d’abord la confirmation, que les regards de visite, dits de « grand module », étaient munis de bacs à sédiments, ce qui justifiait la dualité de ce type d’ouvrages, alternant donc presque toujours « petits et grands modules ».
La découverte de deux « bornes » dans l’ouvrage intitulé « tranchée supérieure », à Chagnon dans la Loire, ne solutionne pas la raison d’être de cet ouvrage, même si l’hypothèse d’une ébauche de tracé semble aujourd’hui, la plus vraisemblable. Dans la Loire encore, le tracé souterrain du canal, le plus en amont connu à ce jour d’une part, et la découverte à Saint-Chamond d’un tunnel entièrement construit en brique, ont précédé, d’autre part, un nouveau tunnel (le 12e), pressenti lors d’un sondage archéologique précédent.
Conférence prévue initialement le 16 mars et reportée en raison de travaux au musée.
Un cycle proposé conjointement par l'association des Amis des Musées de la Civilisation gallo-romaine (GAROM) et les Amis de Vienne*, en partenariat avec le musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal - Vienne.
Les conférences sont accueillies à l’auditorium du musée de Saint-Romain-en-Gal – Vienne.